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Enjeux environnementaux

Changements climatiques

Les nombreuses mesures mises de l’avant par la municipalité pour limiter les impacts des changements climatiques témoignent des efforts du conseil municipal pour faire de Contrecœur une ville plus verte et assurer le bien-être de ses citoyens présents et futurs. À ce titre, la Ville de Contrecœur est inscrite dans le mouvement « Municipalités engagées pour le Jour de la terre ».

La gestion responsable des émissions de GES à Contrecœur est un engagement phare en matière de lutte aux changements climatiques. En affrontant les défis environnementaux collectivement, il est possible de réduire notre empreinte environnementale pour le bénéfice de toute la population. L’exercice de bilan de l’atteinte des cibles GES fixées dans le plan est prévu annuellement.

Plan d’action visant la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) 2020-2030

Certification Carboresponsable

Participation à l’Alliance des villes des Grands Lacs et du Saint-Laurent (AVGLSL)

La Ville de Contrecœur est membre de l’AVGLSL depuis une dizaine d’années. Cette instance réunit les villes riveraines afin de s’assurer que les enjeux vécus en lien avec les changements environnementaux soient bien documentés et communiqués aux instances supérieures. La Ville de Contrecœur est particulièrement active en ce qui concerne l’enjeu de l’érosion des berges. Elle a d’ailleurs parrainé des résolutions demandant aux gouvernements de remettre sur pieds des programmes d’investissement pour combattre l’érosion des berges du fleuve Saint-Laurent.

Défi Saint-Laurent

Stratégies Saint-Laurent propose, dans le cadre du Défi Saint-Laurent, un programme qui s’adresse aux municipalités du Québec désirant s’engager à poser des gestes de sensibilisation et connaissances scientifiques, de mobilisation et de réduction à la source pour diminuer l’empreinte environnementale du plastique. Inscrite au niveau 2 à titre d’initiateur, la ville de Contrecœur est engagée à réaliser les actions suivantes :

  • Diffusion auprès des citoyens d’outils de sensibilisation sur les enjeux des plastiques et de mobilisation en proposant des gestes de réduction du plastique.
  • Mise en place d’un plan d’actions développement durable.
  • Élimination de la vente, l’achat et l’utilisation de bouteilles d’eau et d’objets en plastique à usage unique (tels que bâtonnets en plastique et styromousse) dans les établissements municipaux, les rencontres des comités et celles des services municipaux.
  • Installation de fontaines d’eau dans les espaces verts de la Ville.

En savoir plus

Érosion des berges

Secteurs touchés: Contrecœur, Varennes et Verchères

  • Protection des bandes riveraines, milieux humides et zones inondables à l’échelle de la Ville et de la MRC.
  • La Ville appuie le Comité citoyens pour la protection des berges du Saint- Laurent ainsi que ses revendications en matière de protection des rives contre l’érosion.
  • La Ville participe activement à la concertation autour des enjeux du Fleuve: rôle d’administrateur au comité ZIP de la région.

À propos de Comité ZIP des Seigneuries

Le comité Zip des Seigneuries est un organisme à but non lucratif dont la mission est de promouvoir de de soutenir, grâce à la concertation régionale, des actions visant la protection, la réhabilitation et la mise en valeur des ressources et des usages liés au fleuve Saint-Laurent, et ce, dans une perspective de développement durable.

Comité Zip des Seigneuries

Glissements de terrain

Habiter en zone de contraintes relatives aux glissements de terrain

Si votre propriété est située en partie ou en totalité dans une zone de contraintes relatives aux glissements de terrain, certaines interventions que vous projetez sur vos bâtiments ou sur votre terrain pourraient être assujetties à des règles particulières.

Il est donc essentiel de contacter votre municipalité à cet effet. Pour plus d’information, consultez les documents d’accompagnement de l’orientation gouvernementale en matière d’aménagement du territoire relative aux glissements de terrain dans les dépôts meubles sur le site Web du ministère des Affaires municipales et de l'Habitation [www.mamh.gouv.qc.ca].

Consultez le document

En savoir plus

Source : Direction régionale de la sécurité civile et de la sécurité incendie Montérégie et Estrie
Ministère de la Sécurité publique : securite.civile1605@msp.gouv.qc.ca

Zones de conservation sur le territoire de Contrecœur

La filtration de l’air créée par les arbres est essentielle pour la qualité de l’air de nos villes industrielles. Les zones de conservation sur le territoire de Contrecœur contribuent à la qualité de vie de la population en lui rendant de nombreux services écologiques.

Engagée à faire du développement durable le moteur de la communauté qui se veut plus respectueuse de son environnement, la Ville assure la protection des milieux naturels de son territoire.

Découvrir les zones de conservation sur le territoire de Contrecœur

Agrile du frêne

L’agrile du frêne a été observé pour la première fois au Canada en 2002 à Windsor, en Ontario. Elle provient de l’Asie et est apparue en raison de l’importation de palettes de bois de chauffage.

Depuis sa découverte, l’insecte s’est répandu en Amérique du Nord à une vitesse alarmante et s’attaque à toutes les essences de frênes. Nous constatons sa présence sur le territoire de Contrecœur, dont au parc Cartier-Richard. Ce parc possède 250 arbres, dont plus de 175 frênes.

Actions prises à Contrecœur contre l’agrile du frêne

Constatant l’ampleur de l’infestation sur son territoire en 2017, la Ville de Contrecœur a financé un projet de recherche expérimental avec un produit en développement, le Fraxiprotec.

Ce produit est un piège attirant les agriles adultes et qui les contaminent avec un champignon minuscule. Ce dernier va s’accrocher à la carapace de l’insecte et est dispersé lors de l’accouplement. Après quelques jours, l’insecte meurt en raison du développement du champignon. Le projet pilote a été déployé au parc Cartier-Richard puisqu’il possède la plus grande concentration en frêne de la Ville.

Le nouveau produit a eu de bons résultats et sera mis en marché prochainement. Malgré les résultats prometteurs et les forts taux de mortalité des agriles (près de 40 %), le produit n’a pas la faculté d’immuniser les arbres contre les dommages en continu de plusieurs générations d’agriles.

Remplacement des frênes sur notre territoire

Bien que le dépérissement des frênes ait pris plusieurs années supplémentaires comparativement aux frênes non traités sur notre territoire, plusieurs ont subi des dommages et en mourront malheureusement.

Environ une dizaine des frênes morts ou en mauvaise condition ont été retirés entre 2019 et 2020 à Contrecœur. Une centaine de frênes ont été retirés de notre territoire depuis 2019, et ce, seulement dans les espaces verts appartenant à la Ville. Ultimement, la Ville prévoit abattre tous les frênes sur son territoire et les remplacer par d’autres essences.

Depuis 2017, de nombreuses plantations d’arbres autant dans les secteurs résidentiels que dans nos parcs municipaux ont été réalisées afin de garder les espaces verts bien végétalisés sur notre territoire. Au total, 2203 arbres ont été plantés. La Ville effectue également depuis trois ans une distribution gratuite d’environ 200 arbres auprès de ses citoyens dans le cadre de la Journée de l’environnement.

Dépliant sur l’agrile du frêne

Formulaire de déclaration volontaire présence de frênes

Règlement 1006-2015 relatif à la lutte contre la propagation de l’agrile du frêne

Solutions mises en place

Pour les arbres privés

  • Application des mesures sanitaires pour la disposition du bois de frênes infestés.
  • Accompagnement des citoyens dans le processus pour l’abattage et le remplacement de l’arbre géré avec un certificat d’autorisation.

Pour les arbres publics

  • Sensibilisation de la population à la problématique.
  • Traitement expérimental avec Fraxiprotecmc pendant 4 ans, de 2017 à 2021, ce produit permettant de détruire les agriles adultes. L’objectif de cette expérimentation était la préservation temporaire de la santé des arbres par la diminution de la courbe de population du ravageur dans la zone traitée, ce qui fut confirmé à la conclusion de la recherche.
  • Préservation temporaire dans la zone traitée.
  • Abattage et remplacement progressif de tous les frênes (en cours).

La CMM et l’agrile du frêne

Depuis septembre 2014, la Communauté métropolitaine de Montréal s’est dotée de la Stratégie métropolitaine de lutte contre l’agrile du frêne, qui vise à assurer une coordination métropolitaine, en complémentarité avec les actions des municipalités afin de rendre plus efficace la lutte contre cet insecte nuisible sur le territoire du Grand Montréal.

Mieux comprendre la problématique et les moyens mis en place pour contenir l’épidémie

Consultez la vidéo réalisée par la CMM et l’UMQ

Pesticides

La Ville de Contrecœur a adopté, le 5 mai 2020, un nouveau règlement sur l’utilisation de pesticides sur son territoire. Le règlement vient renforcer l’interdiction de nombreux pesticides considérés comme dangereux dans le but de protéger davantage les citoyens, mais également dans un souci de préservation de l’environnement pour les générations futures.

  • Ce règlement soutient l’utilisation libre de pesticides dits « à faibles impacts » et encadre, entre autres, les activités d’applications de pesticides traditionnels pour le propriétaire.
  • Il protège également le voisinage et l’environnement des risques associés aux pesticides traditionnels.
  • Ce règlement cadre avec le Plan d’action en développement durable en diminuant la pollution de l’environnement causée par les activités humaines.

Règlement sur l'utilisation des pesticides

La Ville de Contrecœur assure un suivi avec les entrepreneurs certifiés qui peuvent opérer sur son territoire. Il est important de vérifier avec son entrepreneur s’il possède un certificat d’enregistrement qui a été émis par la Ville lui permettant d’arroser pour autrui.

Grâce à ce règlement, les exigences sur l’affichage lors d’application de pesticides sont désormais resserrées afin de permettre aux citoyens de prendre les mesures de précaution nécessaires. Le nouveau règlement s’applique en milieu urbain, sauf pour des activités exemptes comme l’agriculture, les activités institutionnelles, de transport de train et maritime, etc.

Rappelons que tous les pesticides sont classés par le règlement provincial sur les permis et les certificats pour la vente et l’utilisation des pesticides. Le code de gestion provincial interdit l’application de plusieurs de ces pesticides depuis quelques années, mais ce nouveau règlement viendra encadrer davantage leur utilisation à Contrecœur.

Remplir le formulaire de certificat d’enregistrement annuel

Plantes envahissantes

La Ville de Contrecœur rappelle que selon l’article 18 du règlement relatif aux nuisances et à la paix publique, tout propriétaire d’un terrain ou son occupant est tenu de laisser libre ce terrain d’herbe à poux ou d’herbe à poux en fleurs.

Plusieurs espèces envahissantes sont présentes sur le territoire de la Ville de Contrecœur. 

Herbe à poux

Herbes à poux

Chaque année, à l’approche du printemps, des milliers de personnes souffrent de la rhinite allergique saisonnière. Environ 13 % de la population québécoise, soit 800 000 personnes, sont affectés par la rhinite allergique qui est majoritairement causée par l’herbe à poux.

  • L’herbe à poux atteint une hauteur moyenne de 70 cm.
  • Sa tige, couverte de poils, est surmontée de feuilles d’un vert grisâtre, minces et étroitement découpées. Elles sont opposées à la base et alternent dans le haut.
  • Le feuillage ressemble à celui de la carotte.
  • Pendant le mois de juillet, la plante se garnit de petites fleurs vertes, parfois jaunâtres, regroupées en forme d’épi au sommet des tiges.
  • À la fin juillet et au début d’août, les fleurs laissent s’envoler dans l’air des millions de grains de pollen dont la majorité voyagent (ou se déposent) dans un rayon de 1 km.
  • Un plant d’herbe à poux peut produire jusqu’à 3000 graines de semences qui peuvent survivre jusqu’à 40 ans dans le sol.
  • La pollinisation s’étend jusqu’à la mi-octobre, soit aux premières gelées du sol.

À quoi ressemble cette plante annuelle, responsable de l’inconfortable rhume des foins?

D’allure inoffensive, elle s’apparente à presque n’importe quelle mauvaise herbe. Voilà donc son atout : savoir passer inaperçue!

  • Les feuilles sont très découpées, d’un vert uniforme des deux côtés.
  • Les fleurs en épi sont d’un vert jaunâtre à l’extrémité de la plante.
  • La tige est ferme, poilue et d’un vert grisâtre qui rougit à la floraison.
  • Les racines sont courtes et faciles à arracher.

Comment se défaire de cette plante?

Le plus simple est encore de l’arracher. C’est facile à réaliser puisqu’elle possède un système de racine peu développé. Mais attention! Il faut absolument effectuer l’opération en juin ou en juillet au plus tard, c’est-à-dire avant la floraison.

Comment diminuer la prolifération de cette mauvaise herbe?

  • Déraciner cette herbe avant sa période de pollinisation (fin juillet, début août)
  • Sensibiliser les gens de votre entourage
  • Effectuer la coupe dans les terrains vagues et publics deux fois par année (mi-juillet et mi août)
  • Recouvrement du sol par des matériaux inertes tels du paillis ou des copeaux de bois
  • Implantation d’un couvert végétal compétitif: utiliser des semences résistantes qui offriront une compétition végétative à l’herbe à poux (trèfle, gazon, etc.)
  • Entretenir régulièrement sa pelouse. La tondre uniformément principalement en bordure du terrain en s’assurant de garnir les coins dénudés, voilà autant de moyens de prévenir l’apparition de cette mauvaise herbe.
  • Même si l’arrachage demeure le moyen de destruction le plus pratique, on peut, dans le cas d’un terrain couvert d’herbe à poux, raser régulièrement au sol les indésirables. De cette façon, on empêchera de donner libre cours à leur floraison si dévastatrice. Si toutefois on ne peut en venir à bout, les services de professionnels pourront sans aucun doute sauver un terrain infesté.

Comment différencier l’herbe à poux de l’herbe à puce?

Consulter leurs descriptions

Herbe à poux

Berce de Caucase

La berce de Caucase est une plante exotique envahissante qui peut être dangereuse pour la santé humaine, en raison notamment de sa sève qui peut causer de graves dermatites. En plus de nuire à la croissance des plantes indigènes, elle peut entraîner une perte de biodiversité. Elle représente donc un risque bien présent pour l’environnement et la santé. Il est très important de ne jamais la vendre, semer, planter ou transporter, afin de limiter au maximum sa propagation.

  • La berce du Caucase atteint à maturité une hauteur de 2 à 5 mètres et présente une tige portant des poils blancs rudes et épars et ayant de nombreuses taches de rouge framboise à violet, bien définies et étendues.
  • Ses feuilles, divisées en 2 ou 3 folioles, sont profondément découpées et dentées. L’ombelle principale peut être composée de 50 à 150 rayons et présente de petites fleurs blanches, parfois roses.

Comment se défaire de cette plante envahissante?

L’arracher! Si seules les tiges sont coupées et que la racine survit, la plante pourra produire de nouvelles tiges au cours de la même année et l’année suivante. Il est donc important de sectionner les racines de la plante à une profondeur d’environ 20 cm sous la surface du sol à l’aide d’une pelle ronde ou d’un couteau rigide à long manche pour la retirer du sol.

Attention

  • Avant d’effectuer tout arrachage, il faut prendre les mesures de sécurité suivantes pour éviter l’exposition à la sève toxique :
  • couvrir toutes les parties du corps par des habits protecteurs non absorbants (pantalons longs, manches longues et gants à manchons longs);
  • enlever les vêtements et les gants en les retournant à l’envers;
  • protéger les yeux ou tout le visage (visière);
  • s’assurer que personne ne se trouve dans un rayon où il pourrait être atteint par des gouttes de sève ou des débris de plante;
  • préférer l’utilisation d’un couteau ou d’une pelle ronde pour couper les tiges et les racines;
  • laver les outils en contact avec la sève de la plante (sécateur, débroussailleuse, etc.).

Ne pas confondre avec des espèces similaires!

Il est important de bien identifier la berce du Caucase afin de ne pas la confondre avec une espèce indigène du Québec, la berce laineuse (ou grande berce), qui lui ressemble beaucoup.

Source : Gouvernement du Québec

Berce de Caucase

Renouée du Japon

Saviez-vous que la Renouée du Japon est une espèce exotique classée parmi les 100 plantes les plus envahissantes au monde?

Il n’est pas rare de retrouver cette plante en terrain privé, car elle peut être achetée dans les centres spécialisés.

  • La Renouée du Japon s’adapte à plusieurs milieux et réussit même à pousser dans les fissures de l’asphalte et peut percer les toiles des piscines.
  • Sa rapidité de croissance et sa capacité à pousser à partir d’un bout de tige ou de racine lui permettent de coloniser facilement de nouveaux sites, notamment au bord des cours d’eau.
  • Elle sécrète des substances toxiques dans le sol qui tuent les racines des plantes voisines.
  • Vous pouvez identifier la Renouée du Japon grâce à sa longue tige creuse et rigide (3 à 4 mètres de hauteur), teintée de rouge qui ressemble à du bambou.
  • Ses feuilles alternes sont en forme de cœur et non dentées.
  • Ses grappes de petites fleurs blanches sont visibles à partir du mois de septembre.

Comment s’en débarrasser?

Étape 1

Coupe des tiges aériennes en dessous du premier nœud. Mise en sacs étanches des résidus de coupe qui seront déposés au site d’enfouissement. 

Étape 2

Excavation des rhizomes mécaniquement ou manuellement. Aplanissement du terrain et retrait des pierres, des petites branches et des pousses pouvant percer une géomembrane. Mise en sacs étanches des résidus végétaux qui seront envoyés au site d’enfouissement.

Étape 3

Installation d’une géomembrane maintenue au moyen de piquets en U ou de pierres lourdes. La membrane doit dépasser la colonie d’au moins 2 mètres de chaque côté. Pour une efficacité maximale, la membrane devrait être laissée en place un minimum de 8 ans.

Étape 4

Suivi des repousses aux deux semaines de mai à octobre. Retrait des repousses en extrayant le plus possible les racines. Mise en sac étanche des résidus qui seront envoyés au site d’enfouissement.

Étape 5

Plantation d’espèces indigènes (par exemple, le saule de l’intérieur, le sumac vinaigrier, l’aulne rugueux ou encore le sureau) au pourtour de la colonie pour faire concurrence à la renouée du Japon et créer de l’ombrage.

La Renouée du Japon ne doit jamais être compostée ou jetée dans la nature. Elle doit être placée dans des sacs noirs robustes et jetée aux ordures.

Si vous observez cette plante, envoyez une photo et son emplacement au comité ZIP des Seigneuries par courriel au seigneuries@zipseigneuries.com. Ce dernier a déjà entamé le processus d’extraction de cette plante sur le territoire de Contrecœur, notamment près du quai municipal et à la Colonie des Grèves.

Visionnez la capsule-vidéo « Contrôler la renouée du Japon en rive »

Nerprun bourdaine et cathartique

Le nerprun cathartique et le nerprun bourdaine sont deux plantes exotiques envahissantes présentes à notre région. On retrouve les nerpruns le plus souvent le long des routes, sur le bord des cours d’eau et dans les boisés. Le nerprun cathartique est quant à lui localisé en milieu urbain. Cette plante très nocive peut être présente sur les terrains en ville, en banlieue ou à la campagne.

Tout nerprun cathartique trouvé sur un terrain doit être éliminé. Les municipalités ont adopté des programmes pour éliminer le nerprun de leurs parcs. Malheureusement, il n’est pas facile d’éliminer cet arbuste. On peut arracher assez facilement les jeunes semis, mais une fois que la plante est bien enracinée, elle ne lâche pas facilement prise. Si on coupe l’arbuste au sol, il repousse facilement des racines, même après des coupes répétées. ll est plus facile de réprimer le nerprun tard à l’automne, car il garde son feuillage vert plus longtemps que les plantes indigènes et est donc plus facile à reconnaître.

Nerprun bourdaine

Comité Zip des Seigneuries

Gestion responsable de l’eau

Moins nous consommons ou gaspillons d’eau, moins cette précieuse ressource se dégrade, et moins élevée sera la note du traitement nécessaire pour la ramener à des normes acceptables. Tous les citoyens peuvent faire des efforts pour économiser l’eau, à commencer par le respect du règlement sur l’arrosage et par l’installation d’un baril récupérateur d’eau de pluie.

Demande de subvention d’un baril récupérateur d’eau de pluie

Gestion de l’eau potable en période estivale

En été, l’arrosage de votre pelouse peut représenter jusqu’à 50 % de la consommation d’eau, dont près de la moitié est gaspillée!

Saviez-vous que…

Notre consommation d’eau double en moyenne durant les mois d’été. La plupart de cette augmentation est attribuable à un gaspillage inutile.

Gérez mieux votre consommation en réalisant quelques gestes simples :

  • Installez un baril récupérateur de l’eau de pluie qui servira au jardinage. Une subvention est offerte pour l’achat de cet équipement!
  • Par temps chaud, arrosez en fin de journée seulement pour éviter que la plus grande partie de l’eau ne s’évapore.
  • Balayez votre entrée de garage plutôt que de la laver à grande eau.
  • Utilisez un seau plutôt que le boyau d’arrosage pour laver votre voiture.
  • Procurez-vous des gicleurs qui produisent de grosses gouttes; la vapeur et les fines gouttelettes s’évaporent.

Respectez le règlement sur l’arrosage

Limitez vos activités d’arrosage pendant certaines périodes.

  • Les résidents de Contrecœur sont autorisés à arroser du 1er mai au 1er septembre, de 19 h à 22 h.
  • Les adresses finissant par un chiffre pair peuvent le faire lors d’une date paire et celles avec un chiffre impair lors d’une date impaire.
  • La Ville recommande fortement l’arrosage du lundi au vendredi seulement.

Vous pouvez arroser :

  • Avec un arroseur amovible : entre 19 h et 22 h.
  • Avec un système d’arrosage automatisé : entre minuit et 3 h du matin.
  • Avec une lance à fermeture automatique tenue en main : en tout temps, de façon raisonnable.

Consultez les règlements municipaux

Plantation d’arbres et maintien

Les arbres nouvellement plantés ont besoin de deux à trois centimètres d’eau par semaine durant les deux premières saisons. Pendant les cinq premières années, les arbres ont seulement besoin d’être arrosés toutes les deux à trois semaines en période sèche et une fois par mois pour les arbres adultes, ce qui est normalement assuré par les périodes de pluies.

  • Pour maintenir vos arbres et vos arbustes en santé, l’eau doit rejoindre la zone d’enracinement en profondeur.
  • La meilleure façon d’y arriver est d’asperger toute la superficie à la base d’un nouvel arbre le jour de sa plantation, avec un système amovible durant les heures prévues à cet effet ou une lance à fermeture manuelle tenue en main pour une durée d’environ 2 minutes.
  • Par la suite, selon la fréquence des pluies, arroser au besoin de la même manière, tout en vous assurant de respecter les heures prévues au règlement selon le mode d’arrosage.

Consultez les règlements municipaux

Remplissage des piscines

Un remplissage complet de piscine, entre minuit et 6 h (le matin), est permis une fois par année seulement.

Pour réduire la perte d’eau par éclaboussement, ne remplissez pas votre piscine à plus de 15 à 20 centimètres du bord. De plus, en utilisant une couverture de piscine, vous préviendrez l’évaporation et garderez l’eau plus propre et plus chaude.

Consultez les règlements municipaux

Lavage des autos et des entrées

  • Utilisation obligatoire d’un boyau muni d’une lance à fermeture automatique.
  • Il est strictement interdit de laver des véhicules dans la rue.
  • Astuce : au lieu de laver votre auto avec un tuyau d’arrosage, utilisez un seau et une éponge et rincez rapidement avec un pistolet de distribution fixé au tuyau d’arrosage.
  • Utilisez un balai plutôt qu’un tuyau d’arrosage pour nettoyer l’entrée d’auto ou le trottoir. L’utilisation d’eau du réseau d’aqueduc pour nettoyer son entrée est interdit, sauf en cas de travaux majeurs.

Important : les présentes autorisations peuvent être levées en cas de sécheresse ou de besoin urgent d’eau.

Quiconque contrevient au présent règlement commet une infraction et est passible d’une amende d’au moins 25 $ et d’au plus 300 $ et des frais.

Pelouse

  • Un arrosage quotidien produit des racines peu profondes et un gazon plus faible.
  • Pour bien arroser votre pelouse, choisissez un arroseur qui projette de grosses gouttes d’eau au ras du sol et qui convient à la taille et à la forme de votre pelouse. Un arroseur de type rotatif qui décrit un cercle constitue le meilleur choix.
  • Votre pelouse n’a pas besoin de beaucoup d’eau pour bien pousser; de deux à trois centimètres d’eau tous les trois à cinq jours suffisent. Disposez des contenants à divers endroits sur votre pelouse pendant que l’arroseur fonctionne pour juger de la quantité d’eau utilisée.
  • Les racines s’enfonceront ainsi plus profondément, et le gazon sera plus robuste.
  • Lorsque vous coupez le gazon, laissez-le assez long (au moins 6 à 10 centimètres) pour donner de l’ombre aux racines. Le sol reste ainsi humide et a moins besoin d’être arrosé.
  • Envisagez de remplacer votre gazon par des plantes et du couvre-sol qui résistent à la sécheresse, comme le trèfle blanc, le thym rampant ou même de l’origan. Vous économiserez du temps et de l’argent en entretien, en plus de contribuer à réduire votre empreinte écologique.
  • Afin de contribuer au maintien de la santé des polinisateurs, les citoyens sont encouragés à laisser leurs pelouses pousser librement au printemps et ce jusqu’au 31 mai de chaque année.

Lingettes dans les toilettes

Il est interdit de jeter toute forme de lingette dans les systèmes d’évacuation des eaux usées municipales. Les stations de pompage des eaux usées de la Ville de Contrecœur sont parfois obstruées par des lingettes humides jetables qui ont été disposées dans la toilette plutôt que dans une poubelle.

Saviez-vous que…

Les lingettes et les applicateurs en plastique des tampons ne se désintègrent pas comme le papier hygiénique. Ces produits obstruent les pompes, même si certains ont une mention « biodégradable ».

  • Les lingettes et tous les autres déchets ne sont pas déchiquetés par les pompes.
  • Le fait de jeter les lingettes dans les toilettes ou tout autre produit, à l’exception du papier hygiénique, engendre des coûts supplémentaires pour le déblocage, le remplacement ou la réparation des pompes.
  • La collaboration de toute la population est souhaitée afin de ne pas jeter n’importe quel produit dans les toilettes.
  • La Ville de Contrecœur doit respecter le Règlement sur les ouvrages municipaux d’assainissement des eaux usées qui interdit des débordements en temps sec des stations de pompage. Les lingettes sont une grande cause de ces rejets.