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Port de Montréal à Contrecœur

L’expansion du Port de Montréal à Contrecœur est un projet phare pour la région. L’agrandissement du terminal portuaire entraînera la création de la zone industrialo-portuaire Contrecœur-Varennes. Il représentera l’un des grands chantiers de la province.

Terminal à conteneurs à Contrecœur

L’administration portuaire de Montréal (APM) déploiera un terminal à conteneurs à Contrecœur au cours des prochaines années. Exploitée par l’APM, le Port de Montréal est le 2e plus important port au Canada.

Le site de Contrecœur accueille déjà une activité portuaire depuis le début des années 50.

  • Entre 1988 et 1992, l’APM a fait l’acquisition du terminal existant à Contrecœur et des terrains avoisinants d’une superficie totale de 468 hectares.
  • Il s’agit d’un emplacement stratégique.
  • La proximité des réseaux ferroviaire et routier est un avantage indéniable.
  • L’espace est adéquat pour le développement industriel et logistique.
  • Le voisinage principalement industriel facilite la cohabitation avec les milieux habités.
  • Construction d’un terminal qui permettra de manutentionner 1,15 M de conteneurs EVP.
  • Deux postes à quai et une aire de manutention seront aménagés.
  • Une cour ferroviaire intermodale sera connectée au réseau principal.
  • Un portail d’accueil pour les camions sera relié au réseau.
  • Des installations de soutien seront aménagées.
  • Le Port de Montréal a réalisé de nombreuses consultations et a tenu compte des commentaires des parties prenantes afin de favoriser l’intégration du projet dans la communauté. Des mécanismes de rétroaction en continu sont prévus lors de la construction et de l’exploitation du futur terminal.

Projet d’expansion

  • L’expansion est nécessaire alors que les installations montréalaises arrivent bientôt au maximum de leur capacité.
  • La population et l’activité économique de l’est du Canada sont en augmentation.
  • 88 % des volumes transitant par le Port de Montréal sont destinés au marché canadien.
  • Selon les prévisions des experts, le Québec et l’Ontario auront besoin d’une plus grande manutention terrestre pour répondre aux besoins des entreprises.

Développement du projet

  • Processus d’évaluation mené l’Agence d’évaluation d’impact du Canada.
  • Le ministère de l’Environnement et du changement climatique du Canada a rendu une décision favorable au projet.
  • Décision favorable accompagnée par certaines conditions de réalisations.
  • Les conditions portent principalement sur des mesures d’atténuation et de compensations ainsi que sur la transparence du projet.
  • L’APM doit se conformer aux conditions avant et pendant la construction ainsi que pendant l’opération du terminal.
  • L’APM agit à titre de maître d’œuvre des travaux en eau qui incluent la construction des quais et les travaux de dragage. Une démarche de type « conception-construction collaborative » avec un partenaire externe est en développement afin de raffiner les coûts et les échéanciers de ce volet. Au terme de cette démarche, l’APM attribuera les travaux en fonction de ses processus d’approvisionnement et présentera un calendrier de réalisation à jour.
  • Les travaux terrestres et l’exploitation/entretien du terminal seront sous la responsabilité d’un partenaire privé. Celui-ci sera choisi à la suite d’un appel d’offres sur invitation tenu au cours de l’année 2024.

Visiter la section sur l’expansion à Contrecœur du site Web du Port de Montréal

Lutte contre l’érosion des berges

  • L’expansion à Contrecœur générera à terme deux ou trois navires par semaine et aura peu ou pas d’impact sur l’érosion des berges.
  • L’érosion des berges est un phénomène naturel qui peut être amplifié si un navire ne respecte pas la limite de vitesse.
  • La Garde côtière canadienne et Transport Canada font appliquer la réglementation.

Espèces en péril

  • L’APM doit réaliser son projet en respectant la Loi sur les espèces en péril particulièrement le chevalier cuivré et la protection de son habitat.
  • L’APM doit mettre en place des mesures d’atténuation et de compensation.
  • Création d’au moins deux hectares d’herbier soit au moins le double de la portion d’habitat qui sera détruit.
  • Amélioration de la qualité de l’eau dans le bassin versant du Richelieu, où se reproduit le chevalier cuivré.
  • Création d’un programme de sensibilisation des usagers du fleuve sur le chevalier cuivré et son habitat.
  • Amélioration des connaissances du stade juvénile du chevalier cuivré.

Enjeux de cohabitation avec les riverains

  • L’APM s’engage à mettre sur pied un comité de bon voisinage afin d’établir un dialogue permanent avec la population.
  • Entre 250 et 370 camions accèderont au site chaque jour.
  • Au maximum de sa capacité dans environ 25 ans, le site pourrait recevoir jusqu’à 1200 camions par jour.
  • La montée de la Pomme d’or sera la route collectrice privilégiée permettant aux camions de relier l’autoroute 30 et la route 132.

L’impact du nouveau terminal sur le trafic ferroviaire sur la rive-sud

  • La mise en service du nouveau terminal sera graduelle avec deux ou trois convois ferroviaires par semaine.
  • Cette fréquence s’accentuera pour atteindre un ou deux trains par jours dans 25 ans.
  • Le nouveau terminal à conteneurs utilisera le réseau ferroviaire existant au sud de la route 132.

Impacts sur les sédiments

  • Des centaines d’analyses ont été réalisées à différentes profondeurs pour s’assurer de la qualité des sédiments.
  • Près de 90 % des sédiments visés pour aménager l’aire d’approche des navires sont constitués d’argile naturelle d’origine glaciaire.
  • L’autre 10 % des sédiments est constitué d’alluvions.

Chenal maritime

  • Le chenal ne sera pas approfondi.
  • Le chenal maritime ne sera pas dragué pour le futur terminal.
  • Le dragage des sédiments est nécessaire seulement pour aménager l’aire d’approche.
  • La taille des navires ne sera pas plus importante que ceux utilisant les installations de Montréal.

Terminal de Logistec à Contrecœur (existant)

  • Le terminal de Logistec est l’une des installations de manutention en vrac les plus modernes et les plus efficaces sur le fleuve Saint-Laurent.
  • Services de manutention, de logistique portuaire et de gestion d’inventaires.
  • Équipe d’employés chevronnés.
  • Équipements adaptés aux marchandises en vrac.
  • Cargaison générale.